À quoi vont ressembler les prochains Photoshop, InDesign et Illustrator ? La sortie des bêtas publiques de leurs compagnons Fireworks, Dreamweaver et Soundbooth (voir l'article Creative Suite 4 : Adobe dévoile trois bêtas) en donne déjà une bonne idée, au moins au niveau de l'interface. Car ça bouge de ce côté là.
Il y a aujourd'hui deux écoles chez Adobe. Les derniers nés, de Lightroom aux services en ligne tels que Acrobat.com et Photoshop Express adoptent un visage inédit.
Même des anciens s'y sont pliés, comme Photoshop Elements 6. À l'inverse les logiciels vétérans de la Creative Suite restent peu ou prou sur des rails assez connus, mais ils évoluent eux aussi. Exemple avec le nouveau Fireworks dont Photoshop et les autres vont certainement partager nombre de comportements (voir l'article Coup d'oeil sur le futur Photoshop CS4).
Fireworks dévoile la suite
L'espace de travail peut être tout entier contenu dans un seul "cadre". Cette fenêtre globale regroupe tous les documents ouverts. Les palettes y sont attachées et elles peuvent être librement réparties à la droite ou sous la page de travail. Pas de case de redimensionnement visible dans le coin de ce cadre, le curseur change juste de forme lorsqu'on s'approche du bord. Cette présentation "tout-en-un" est débrayable si l'on préfère travailler comme aujourd'hui dans la CS3.
Les documents ouverts peuvent être regroupés en onglets, à la manière des navigateurs web. On a ainsi plusieurs documents immédiatement à portée de clic au sein d'une seule fenêtre. Ces onglets se comportent comme ceux de Safari. On peut les réordonner par glissé déposé ou les détacher pour créer une fenêtre indépendante. Un détail, les trois boutons des fenêtres restent toujours à fonds gris.
Ce mode "cadre" n'est pas rigide. Rien n'empêche d'ouvrir d'autres documents (ou onglets) dans une fenêtre séparée. On peut ainsi regrouper et organiser ses documents en fonction de leur thématique ou du client auxquels ils se destinent. Les palettes d'outil par contre s'affichent dans un seul cadre. Elles ne sont pas dupliquées dans la seconde fenêtre.
La barre de titre des documents contient les outils Main et Zoom ainsi que l'icône de l'application. En l'état il n'est pas possible de personnaliser cette zone avec d'autres outils souvent utilisés. De même, on pouvait penser que les icônes des autres applications de la Creative Suite y apparaitraient, pour être lancées sans en passer par le Dock. Il n'en est rien, du moins en l'état. Le bouton-menu sur la droite permet lui de basculer dans les différents modes d'affichage de cette fenêtre.
L'option "Iconic mode with panel names" réduit les palettes à un ruban d'icônes accompagnées de leurs intitulés.
L'option "Iconic mode" réduit les palettes à un ruban d'icônes. À noter aussi que les palettes perdent encore de leurs rondeurs. L'interface de cette future CS4 (ce nom n'est pas encore confirmé) se faisant encore un peu plus rectangulaire comparé à la CS3.
Il y a aujourd'hui deux écoles chez Adobe. Les derniers nés, de Lightroom aux services en ligne tels que Acrobat.com et Photoshop Express adoptent un visage inédit.
Même des anciens s'y sont pliés, comme Photoshop Elements 6. À l'inverse les logiciels vétérans de la Creative Suite restent peu ou prou sur des rails assez connus, mais ils évoluent eux aussi. Exemple avec le nouveau Fireworks dont Photoshop et les autres vont certainement partager nombre de comportements (voir l'article Coup d'oeil sur le futur Photoshop CS4).
Fireworks dévoile la suite
L'espace de travail peut être tout entier contenu dans un seul "cadre". Cette fenêtre globale regroupe tous les documents ouverts. Les palettes y sont attachées et elles peuvent être librement réparties à la droite ou sous la page de travail. Pas de case de redimensionnement visible dans le coin de ce cadre, le curseur change juste de forme lorsqu'on s'approche du bord. Cette présentation "tout-en-un" est débrayable si l'on préfère travailler comme aujourd'hui dans la CS3.
Les documents ouverts peuvent être regroupés en onglets, à la manière des navigateurs web. On a ainsi plusieurs documents immédiatement à portée de clic au sein d'une seule fenêtre. Ces onglets se comportent comme ceux de Safari. On peut les réordonner par glissé déposé ou les détacher pour créer une fenêtre indépendante. Un détail, les trois boutons des fenêtres restent toujours à fonds gris.
Ce mode "cadre" n'est pas rigide. Rien n'empêche d'ouvrir d'autres documents (ou onglets) dans une fenêtre séparée. On peut ainsi regrouper et organiser ses documents en fonction de leur thématique ou du client auxquels ils se destinent. Les palettes d'outil par contre s'affichent dans un seul cadre. Elles ne sont pas dupliquées dans la seconde fenêtre.
La barre de titre des documents contient les outils Main et Zoom ainsi que l'icône de l'application. En l'état il n'est pas possible de personnaliser cette zone avec d'autres outils souvent utilisés. De même, on pouvait penser que les icônes des autres applications de la Creative Suite y apparaitraient, pour être lancées sans en passer par le Dock. Il n'en est rien, du moins en l'état. Le bouton-menu sur la droite permet lui de basculer dans les différents modes d'affichage de cette fenêtre.
L'option "Iconic mode with panel names" réduit les palettes à un ruban d'icônes accompagnées de leurs intitulés.
L'option "Iconic mode" réduit les palettes à un ruban d'icônes. À noter aussi que les palettes perdent encore de leurs rondeurs. L'interface de cette future CS4 (ce nom n'est pas encore confirmé) se faisant encore un peu plus rectangulaire comparé à la CS3.