Ce n'est plus un secret, l'interface des logiciels de la prochaine Creative Suite va changer avec quelques nouveautés dans la présentation, mais aussi dans la manière de travailler avec les fenêtres. Notamment avec ce nouveau mode "cadre" (que l'on peut débrayer pour revenir au mode actuel) qui voit les palettes et le document tous attachés, comme cela se pratique plus couramment sur Windows (voir l'article Coup d'oeil sur la future interface de la CS4).
Le chef produit de Photoshop, John Nack, revient sur ces changements. Une interview du même Nack aborde également ce sujet. Utilisateur Mac depuis les débuts, explique ainsi qu'il a d'abord eu un sérieux mouvement de rejet lorsque les ingénieurs lui ont soumis leur travail. Le principe des onglets pour les documents ouverts n'appelait pas vraiment de commentaires, mais la présentation des fenêtres et palettes au sein d'un cadre lui paraissait saugrenue sur Mac. Avant d'y voir quelques avantages une fois habitué au principe.
Comme celui de pouvoir déplacer dans un seul mouvement tout son environnement de travail vers un second écran (on peut avoir plusieurs cadres à l'écran). De tenir les palettes à l'écart du document en cours, ou de masquer le bureau en arrière plan avec les dossiers ou les fichiers qui peuvent s'y entasser. Enfin, cela simplifierait des opérations de comparaison entre plusieurs documents. Il produit à cet effet une vidéo de démonstration.
Face aux critiques qui pointent le peu de cas fait de l'interface du Mac dans cette option de présentation il énumère quelques exemples de contournements vus chez d'autres, et pas seulement hors d'Apple. Ainsi les outils audio, photo et vidéo de la Pomme, de Final Cut à iPhoto en passant par Aperture sont prévus pour occuper tout l'écran. Les applications d'iLife s'appuient également sur une interface où tout est contenu dans une seule fenêtre.
Mêmes remarques pour les cases de redimensionnement invisibles, les fenêtres des prochaines applications d'Adobe pouvant être redimensionnées de n'importe quel endroit. Ce comportement n'est pas absent de Final Cut Pro et chez lui aussi les boutons de contrôle des fenêtres sont systématiquement monochromes, tout comme le dessin des ascenseurs.
En résumé, si Apple s'autorise quelques écarts de ses propres directives d'interface en jugeant que c'est au bénéfice de l'utilisateur, pourquoi Adobe devrait s'interdire la même approche ?
Le chef produit de Photoshop, John Nack, revient sur ces changements. Une interview du même Nack aborde également ce sujet. Utilisateur Mac depuis les débuts, explique ainsi qu'il a d'abord eu un sérieux mouvement de rejet lorsque les ingénieurs lui ont soumis leur travail. Le principe des onglets pour les documents ouverts n'appelait pas vraiment de commentaires, mais la présentation des fenêtres et palettes au sein d'un cadre lui paraissait saugrenue sur Mac. Avant d'y voir quelques avantages une fois habitué au principe.
Comme celui de pouvoir déplacer dans un seul mouvement tout son environnement de travail vers un second écran (on peut avoir plusieurs cadres à l'écran). De tenir les palettes à l'écart du document en cours, ou de masquer le bureau en arrière plan avec les dossiers ou les fichiers qui peuvent s'y entasser. Enfin, cela simplifierait des opérations de comparaison entre plusieurs documents. Il produit à cet effet une vidéo de démonstration.
Face aux critiques qui pointent le peu de cas fait de l'interface du Mac dans cette option de présentation il énumère quelques exemples de contournements vus chez d'autres, et pas seulement hors d'Apple. Ainsi les outils audio, photo et vidéo de la Pomme, de Final Cut à iPhoto en passant par Aperture sont prévus pour occuper tout l'écran. Les applications d'iLife s'appuient également sur une interface où tout est contenu dans une seule fenêtre.
Mêmes remarques pour les cases de redimensionnement invisibles, les fenêtres des prochaines applications d'Adobe pouvant être redimensionnées de n'importe quel endroit. Ce comportement n'est pas absent de Final Cut Pro et chez lui aussi les boutons de contrôle des fenêtres sont systématiquement monochromes, tout comme le dessin des ascenseurs.
En résumé, si Apple s'autorise quelques écarts de ses propres directives d'interface en jugeant que c'est au bénéfice de l'utilisateur, pourquoi Adobe devrait s'interdire la même approche ?