Avec le concept de "taxe Apple" Microsoft a trouvé un os qu'il entend ronger jusqu'au bout. En marge du troisième clip mettant en scène des acheteurs d'un nouvel ordinateur, l'éditeur a commissionné une étude visant à prouver par A+B qu'acheter un Mac plutôt qu'un PC est décidément un bien mauvais service rendu au budget d'une famille.
Roger Kay, l'auteur de cette étude (au passage on ne pourra le soupçonner d'avoir réalisé son site avec des logiciels Apple…) a bâti un scénario (PDF) avec une famille de quatre personnes qui veulent renouveler le PC de bureau et le portable du foyer.
Et de partir dans un calcul des coûts sur cinq ans de cet investissement. Au final, en choisissant un Mac Pro (la machine familiale par excellence il est vrai) et un MacBook plutôt que deux matériels HP et Dell, la famille Bancroft aura dépensé 3367$ de plus.
Encore une preuve par la calculette d'une information restée inconnue jusqu'alors, on peut payer son PC moins cher que son Mac. À défaut d'être toujours pertinent, à force de répétition le message laissera néanmoins quelques traces, c'est toujours ça de pris. Car on relèvera quelques étrangetés dans cette démonstration du jour. La famille Bancroft a décidé de payer un abonnement MobileMe pendant cinq ans (soit 745$). Soit, mais rien ne l'y oblige et d'autres services gratuits offrent la plupart de ces prestations.
En achetant des Mac la famille s'équipe d'Office Mac et Quicken. Là aussi on peut vivre sans, mais pourquoi pas. En revanche, les équivalents dans le scénario PC sont oubliés, alors que les machines choisies sont livrées avec Works mais certainement pas avec Office Windows qui est en option, et sans anti-virus non plus. Et ça, c'est mal.
Ajoutés de force aussi les contrats AppleCare ou la borne Airport Extreme (on apprend ainsi que les autres routeurs du marché ne marchent pas avec les Mac). Bref… Il est tout à fait probable qu'avec une étude un peu plus sérieuse on arriverait à un résultat similaire, mais pas nécessairement dans les mêmes proportions. Et encore on s'en tient là à une "analyse" froide sur des critères qui ne prennent pas en compte l'utilisation en elle-même (qui peut-être satisfaisante aussi sur Windows, soyons honnêtes).
On reste en tout cas épaté qu'une entreprise comme Microsoft, dont on connaît le poids de l'OS et de certains de ses logiciels sur le marché face à ceux d'Apple, n'ait trouvé dans son armurerie qu'un lot de calculettes et de tableaux Excel.
Roger Kay, l'auteur de cette étude (au passage on ne pourra le soupçonner d'avoir réalisé son site avec des logiciels Apple…) a bâti un scénario (PDF) avec une famille de quatre personnes qui veulent renouveler le PC de bureau et le portable du foyer.
Et de partir dans un calcul des coûts sur cinq ans de cet investissement. Au final, en choisissant un Mac Pro (la machine familiale par excellence il est vrai) et un MacBook plutôt que deux matériels HP et Dell, la famille Bancroft aura dépensé 3367$ de plus.
Encore une preuve par la calculette d'une information restée inconnue jusqu'alors, on peut payer son PC moins cher que son Mac. À défaut d'être toujours pertinent, à force de répétition le message laissera néanmoins quelques traces, c'est toujours ça de pris. Car on relèvera quelques étrangetés dans cette démonstration du jour. La famille Bancroft a décidé de payer un abonnement MobileMe pendant cinq ans (soit 745$). Soit, mais rien ne l'y oblige et d'autres services gratuits offrent la plupart de ces prestations.
En achetant des Mac la famille s'équipe d'Office Mac et Quicken. Là aussi on peut vivre sans, mais pourquoi pas. En revanche, les équivalents dans le scénario PC sont oubliés, alors que les machines choisies sont livrées avec Works mais certainement pas avec Office Windows qui est en option, et sans anti-virus non plus. Et ça, c'est mal.
Ajoutés de force aussi les contrats AppleCare ou la borne Airport Extreme (on apprend ainsi que les autres routeurs du marché ne marchent pas avec les Mac). Bref… Il est tout à fait probable qu'avec une étude un peu plus sérieuse on arriverait à un résultat similaire, mais pas nécessairement dans les mêmes proportions. Et encore on s'en tient là à une "analyse" froide sur des critères qui ne prennent pas en compte l'utilisation en elle-même (qui peut-être satisfaisante aussi sur Windows, soyons honnêtes).
On reste en tout cas épaté qu'une entreprise comme Microsoft, dont on connaît le poids de l'OS et de certains de ses logiciels sur le marché face à ceux d'Apple, n'ait trouvé dans son armurerie qu'un lot de calculettes et de tableaux Excel.