En Allemagne, iWork possède une part d'utilisation d'environ 1,4 % sur le marché des suites bureautiques. Sans surprise, c'est Microsoft Office qui domine ce marché avec une part d'utilisation de 72 %. À noter qu'OpenOffice.org (et ses dérivés) ne cessent de progresser avec une part d'utilisation qui atteint désormais les 21,5 %.
La méthodologie mise au point par Webmasterpro pour déterminer les parts d'utilisation de chacun des logiciels est intéressante. Sachant qu'OpenOffice.org est gratuit, il n'est pas possible de se baser sur les chiffres de vente en magasin.
Afin d'avoir une estimation précise, la société a préféré s'appuyer sur des statistiques provenant du web. Pour chaque internaute, elle a cherché à déterminer si son navigateur était capable d'utiliser telle ou telle police. Chaque suite bureautique installe des polices qui lui sont propres. Ainsi, ceux qui disposaient de la police OpenSymbol étaient identifiés comme utilisateur d'OpenOffice.org.
Cependant, cette étude a deux défauts. Elle ne prend pas en compte les versions de démonstration. Une personne qui a essayé une démo de Microsoft Office par exemple, mais qui n'a pas été plus loin, est considéré comme un utilisateur de celui-ci, à moins bien évidemment qu'il l'ait désinstallé. D'autre part, elle ne permet pas de prendre en compte les internautes qui utilisent des services en ligne comme Google Docs.
La méthodologie mise au point par Webmasterpro pour déterminer les parts d'utilisation de chacun des logiciels est intéressante. Sachant qu'OpenOffice.org est gratuit, il n'est pas possible de se baser sur les chiffres de vente en magasin.
Afin d'avoir une estimation précise, la société a préféré s'appuyer sur des statistiques provenant du web. Pour chaque internaute, elle a cherché à déterminer si son navigateur était capable d'utiliser telle ou telle police. Chaque suite bureautique installe des polices qui lui sont propres. Ainsi, ceux qui disposaient de la police OpenSymbol étaient identifiés comme utilisateur d'OpenOffice.org.
Cependant, cette étude a deux défauts. Elle ne prend pas en compte les versions de démonstration. Une personne qui a essayé une démo de Microsoft Office par exemple, mais qui n'a pas été plus loin, est considéré comme un utilisateur de celui-ci, à moins bien évidemment qu'il l'ait désinstallé. D'autre part, elle ne permet pas de prendre en compte les internautes qui utilisent des services en ligne comme Google Docs.