Si la cérémonie des Oscars a permis d'apercevoir Steve Jobs en smoking (lire : Les Oscars dévoilent la première publicité de l'iPad), elle a aussi permis de révéler le poids qu'a pris Final Cut Studio dans l'industrie cinématographique, notamment du côté des documentaires. Des 10 films nominés dans les deux catégories dédiées aux documentaires (courts et longs), 9 ont été réalisés avec les outils de la suite Final Cut Studio (Final Cut Pro, Motion, Soundtrack Pro, Color, Compressor et DVD Studio Pro).
Matthew O'Neil, le réalisateur de China's Unnatural Disaster: The Tears of Sichuan Province, comme Kim Roberts, la réalisatrice de Food, Inc., expliquent qu'ils sont passés à Final Cut Studio pour des raisons économiques. Dan Wilken, le monteur sur Food Inc. indique ainsi que « Final Cut Pro peut faire tout ce que font les systèmes à un million de dollars, tout en ne coûtant que 15.000 $ (ce qui inclut le prix d'un Mac, de Final Cut, et des cartes vidéo ».
L'aspect tout-en-un de Final Cut Studio est aussi un argument de poids. Selon Matthew O'Neil, il est possible « de toute faire dans Final Cut Studio, et d'avoir un projet quasi-fini en interne ». L'argument financier n'est pas loin non plus dans ce cas-là, la post-production étant réduite à portion congrue.
Final Cut Pro est aujourd'hui l'outil d'édition vidéo professionnel le plus utilisé du marché, ayant dépassé les 50 % de parts de marché dans le domaine du montage « virtuel » (montage non-linéaire), passant devant son concurrent de chez Avid.
Matthew O'Neil, le réalisateur de China's Unnatural Disaster: The Tears of Sichuan Province, comme Kim Roberts, la réalisatrice de Food, Inc., expliquent qu'ils sont passés à Final Cut Studio pour des raisons économiques. Dan Wilken, le monteur sur Food Inc. indique ainsi que « Final Cut Pro peut faire tout ce que font les systèmes à un million de dollars, tout en ne coûtant que 15.000 $ (ce qui inclut le prix d'un Mac, de Final Cut, et des cartes vidéo ».
L'aspect tout-en-un de Final Cut Studio est aussi un argument de poids. Selon Matthew O'Neil, il est possible « de toute faire dans Final Cut Studio, et d'avoir un projet quasi-fini en interne ». L'argument financier n'est pas loin non plus dans ce cas-là, la post-production étant réduite à portion congrue.
Final Cut Pro est aujourd'hui l'outil d'édition vidéo professionnel le plus utilisé du marché, ayant dépassé les 50 % de parts de marché dans le domaine du montage « virtuel » (montage non-linéaire), passant devant son concurrent de chez Avid.