Ars Technica a publié un test de Photoshop Extended CS5 où l'on trouvera de nombreuses vidéos mettant en scène les nouveaux outils de retouche. L'auteur aborde également le point des performances. D'abord avec le 64 bits proposé par la réécriture en Cocoa de l'application (en 32 bits elle reste sur Carbon afin de ménager la compatibilité avec les plug-ins existants).
Par défaut donc Photoshop se lance en 64 bits et montre parfois des gains significatifs dans le traitement d'images et ce, sans utiliser obligatoirement des fichiers d'une définition démesurée. Exemple avec un fichier 10 mpx traité d'abord avec CS5 lancée en 32 bits puis en 64 bits.
A de rares exceptions le 32 bits l'emporte - notamment l'action de rotation - mais ailleurs il arrive que la version 64 bits fasse un peu, sinon beaucoup mieux. Au final les opérations en 64 bits s'achèvent au bout de 27,5 secondes contre 38,6 secondes en 32 bits.
En revanche Ars note le peu de progrès réalisé par la CS5 sur la gestion du multithread. Ce n'est pas grave sur des filtres qui s'exécutent en à peine quelques secondes mais sur d'autres, plus lourds, le logiciel ne sait toujours pas exploiter tous les coeurs en présence.
Pour le reste, Ars souligne la rigueur qui a présidé à la conception de cette nouvelle version, réécrite dans ses fondations et tout à fait stable.
Par défaut donc Photoshop se lance en 64 bits et montre parfois des gains significatifs dans le traitement d'images et ce, sans utiliser obligatoirement des fichiers d'une définition démesurée. Exemple avec un fichier 10 mpx traité d'abord avec CS5 lancée en 32 bits puis en 64 bits.
A de rares exceptions le 32 bits l'emporte - notamment l'action de rotation - mais ailleurs il arrive que la version 64 bits fasse un peu, sinon beaucoup mieux. Au final les opérations en 64 bits s'achèvent au bout de 27,5 secondes contre 38,6 secondes en 32 bits.
En revanche Ars note le peu de progrès réalisé par la CS5 sur la gestion du multithread. Ce n'est pas grave sur des filtres qui s'exécutent en à peine quelques secondes mais sur d'autres, plus lourds, le logiciel ne sait toujours pas exploiter tous les coeurs en présence.
Pour le reste, Ars souligne la rigueur qui a présidé à la conception de cette nouvelle version, réécrite dans ses fondations et tout à fait stable.