Les enquêtes se suivent et se ressemblent pour les navigateurs web : en Europe, comme ailleurs, Safari et Chrome poursuivent leur progression, pendant qu'Internet Explorer recule. Firefox, en dépit du lancement de la version 4.0, stagne. C'est ce qui ressort en tout cas de la dernière étude d'AT Internet qui porte sur 23 pays européens.
Au fil des mois, la chute d'Internet Explorer tend à s'accélérer. Alors qu'en avril 2010, sa part d'utilisation était de 55,7 %, elle n'était plus que de 46,3 % le mois dernier, soit une baisse de près de 10 points en un an. Internet Explorer n'a pas permis d'enrayer cette tendance au contraire… En avril, sa part d'utilisation a reculé de 1,6 point eu un mois.
Comme le montre ce tableau, Internet Explorer limite tant bien que mal les dégâts du fait qu'il reste le navigateur privilégié dans le monde de l'entreprise. Le week-end, sa part d'utilisation n'est que de 41,3 %, soit 6,4 points de moins qu'en semaine.
Pour Firefox, le constat est mitigé. La sortie de la version 4 fin mars a permis au dauphin d'Internet Explorer de repartir légèrement de l'avant. Sa part d'utilisation s'élevait à 29,5 % en avril, soit un gain de 0,3 point par rapport à mars. Il est trop tôt pour savoir s'il s'agit d'un retournement de tendance ou d'un simple feu de paille. En attendant, Firefox est toujours sous la barre des 30 % depuis novembre dernier.
De leur côté, Chrome et Safari poursuivent leur montée en puissance. D'un mois sur l'autre, le premier a gagné 0,7 point à 12,8 % en avril, et le second 0,5 points à 8,3 %. À noter que le week-end, le butineur d'Apple flirte avec les 10 % de part d'utilisation.
Au fil des mois, la chute d'Internet Explorer tend à s'accélérer. Alors qu'en avril 2010, sa part d'utilisation était de 55,7 %, elle n'était plus que de 46,3 % le mois dernier, soit une baisse de près de 10 points en un an. Internet Explorer n'a pas permis d'enrayer cette tendance au contraire… En avril, sa part d'utilisation a reculé de 1,6 point eu un mois.
Comme le montre ce tableau, Internet Explorer limite tant bien que mal les dégâts du fait qu'il reste le navigateur privilégié dans le monde de l'entreprise. Le week-end, sa part d'utilisation n'est que de 41,3 %, soit 6,4 points de moins qu'en semaine.
Pour Firefox, le constat est mitigé. La sortie de la version 4 fin mars a permis au dauphin d'Internet Explorer de repartir légèrement de l'avant. Sa part d'utilisation s'élevait à 29,5 % en avril, soit un gain de 0,3 point par rapport à mars. Il est trop tôt pour savoir s'il s'agit d'un retournement de tendance ou d'un simple feu de paille. En attendant, Firefox est toujours sous la barre des 30 % depuis novembre dernier.
De leur côté, Chrome et Safari poursuivent leur montée en puissance. D'un mois sur l'autre, le premier a gagné 0,7 point à 12,8 % en avril, et le second 0,5 points à 8,3 %. À noter que le week-end, le butineur d'Apple flirte avec les 10 % de part d'utilisation.