Plus de 150 éditeurs ont pris une licence auprès de Lodsys, ce patent-troll dont le portefeuille compte seulement quatre brevets, mais orientés autour des transactions In-App. Depuis plus d'un an, Lodsys a menacé des éditeurs iOS et Android, petits et grands, afin qu'ils prennent une licence sur ses inventions. Ces deux écosystèmes sont une cible facile tant les applications utilisant l'In-App et le modèle du freemium y sont nombreuses.
Apple était intervenue en juillet 2011, souhaitant prendre part à cette affaire pour défendre les éditeurs iOS. Elle fait valoir que sa licence obtenue auprès de Lodsys les protège par extension. Une interprétation contestée par le principal intéressé qui explique aujourd'hui sur son blog que 150 sociétés ont pris une licence, et pour les trois quarts, en précédant le dépôt d'une plainte à leur encontre.
À propos de la réponse d'Apple, Lodsys la conteste toujours et indique qu'un procès est prévu en 2013. Le patent-troll affirme aussi qu'Apple garde confidentiels certains documents qui pourraient clarifier auprès des développeurs dans quelle mesure ils sont réellement protégés par la licence prise par Apple.
Lodsys évoque aussi le cas de Google qui avait remis en cause l'un de ses quatre brevets. L'USPTO (United States Patent and Trademark Office) a rendu un avis favorable en direction de Lodsys.
Sur le même sujet :
- Atari, EA, QuickOffice et Square-Enix soutiennent l'intervention d'Apple face à Lodsys
- Affaire Lodsys : Apple persiste et signe
Apple était intervenue en juillet 2011, souhaitant prendre part à cette affaire pour défendre les éditeurs iOS. Elle fait valoir que sa licence obtenue auprès de Lodsys les protège par extension. Une interprétation contestée par le principal intéressé qui explique aujourd'hui sur son blog que 150 sociétés ont pris une licence, et pour les trois quarts, en précédant le dépôt d'une plainte à leur encontre.
À propos de la réponse d'Apple, Lodsys la conteste toujours et indique qu'un procès est prévu en 2013. Le patent-troll affirme aussi qu'Apple garde confidentiels certains documents qui pourraient clarifier auprès des développeurs dans quelle mesure ils sont réellement protégés par la licence prise par Apple.
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