Membre du conseil d’administration d’Apple depuis 2000, Arthur D. Levinson était également un proche de Steve Jobs. À l’occasion d’une conférence hier à Stanford, l’homme s’est exprimé sur la disparition du cofondateur d’Apple auquel il a succédé à la tête du CA.
Seize mois après la mort de Steve Jobs, il règne une drôle d’ambiance à l’entendre au conseil d’administration d’Apple. Il la résume en un mot : “bizarre”. À chaque fois qu’il entre dans la salle de réunion, Arthur D. Levinson a un pincement au coeur. L’homme affirme avoir commencé à lire la biographie de Steve Jobs, mais ne pas avoir eu le courage d’aller jusqu’à la fin.
Lors de cette conférence, Arthur D. Levinson explique que le rôle du conseil d’administration d’Apple est de s’intéresser avant tout au long terme de la firme de Cupertino. Ce dernier n’est pas préoccupé de savoir si Apple a vendu 47 ou 48 millions d’iPhone, le genre de choses qui préoccupe tant les milieux financiers.
Il n’est pas là non plus pour définir les caractéristiques techniques d’un produit, même si le conseil d’administration a un oeil attentif sur les différents produits en gestation. Levinson explique que les nouveautés sont présentées au CA 6 à 18 mois avant leur commercialisation.
Toutefois, les membres du CA peuvent faire part de leurs remarques qui peuvent également être prises en compte avant la finalisation du produit. Il est possible qu’ils aient une influence plus large si cela tombe dans leur domaine de compétence.
Justement, dans la biographie consacrée à Steve Jobs, on apprend le rôle qu’a pu avoir le CA sur la stratégie d’Apple à l’époque où le cofondateur d’Apple était encore en vie. Ce dernier ne prenait pas vraiment le CA pour un lieu de contestation, c’était davantage une chambre d’enregistrement à vrai dire.
Toutefois, il s’en servait comme un lieu de débats pour esquisser la stratégie d’Apple. Ainsi, la question du passage à Intel a longtemps été débattue dans ces sphères. Autre anecdote donnée dans le livre : Arthur D. Levinson a été l’un des grands artisans à l’ouverture de l’iPhone aux apps. Il est parvenu à convaincre Steve Jobs qui était opposé initialement à cette idée. Certainement pas une mince affaire…
Seize mois après la mort de Steve Jobs, il règne une drôle d’ambiance à l’entendre au conseil d’administration d’Apple. Il la résume en un mot : “bizarre”. À chaque fois qu’il entre dans la salle de réunion, Arthur D. Levinson a un pincement au coeur. L’homme affirme avoir commencé à lire la biographie de Steve Jobs, mais ne pas avoir eu le courage d’aller jusqu’à la fin.
Lors de cette conférence, Arthur D. Levinson explique que le rôle du conseil d’administration d’Apple est de s’intéresser avant tout au long terme de la firme de Cupertino. Ce dernier n’est pas préoccupé de savoir si Apple a vendu 47 ou 48 millions d’iPhone, le genre de choses qui préoccupe tant les milieux financiers.
Il n’est pas là non plus pour définir les caractéristiques techniques d’un produit, même si le conseil d’administration a un oeil attentif sur les différents produits en gestation. Levinson explique que les nouveautés sont présentées au CA 6 à 18 mois avant leur commercialisation.
Toutefois, les membres du CA peuvent faire part de leurs remarques qui peuvent également être prises en compte avant la finalisation du produit. Il est possible qu’ils aient une influence plus large si cela tombe dans leur domaine de compétence.
Justement, dans la biographie consacrée à Steve Jobs, on apprend le rôle qu’a pu avoir le CA sur la stratégie d’Apple à l’époque où le cofondateur d’Apple était encore en vie. Ce dernier ne prenait pas vraiment le CA pour un lieu de contestation, c’était davantage une chambre d’enregistrement à vrai dire.
Toutefois, il s’en servait comme un lieu de débats pour esquisser la stratégie d’Apple. Ainsi, la question du passage à Intel a longtemps été débattue dans ces sphères. Autre anecdote donnée dans le livre : Arthur D. Levinson a été l’un des grands artisans à l’ouverture de l’iPhone aux apps. Il est parvenu à convaincre Steve Jobs qui était opposé initialement à cette idée. Certainement pas une mince affaire…