C’est bientôt l’heure des bilans et le moins que l’on puisse dire concernant l’iPhone, c’est qu’Apple est en avance sur ses objectifs. Sorti en juillet, l’iPhone 3G a véritablement permis à la firme de Cupertino de passer, à tout point de vue, à la vitesse supérieure.
L’un des objectifs avoués de Steve Jobs était d’écouler 10 millions d’appareils d’iPhone en 2008. C’est chose faite depuis quelques jours déjà. Le patron d’Apple avait également déclaré qu’il serait ravi si sa société parvenait à avoir une part de marché de 1 % sur le marché des téléphones portables. Là encore, la pomme est en avance sur sa feuille de route.
Au troisième trimestre, Cupertino disposait d’une part de marché de 2,2 %. Pour Kevin Burden de Strategy Analytics, Apple est désormais un acteur établi dans cette industrie et est solidement installé dans le top 10 des fabricants de téléphones portables. Une sacrée performance pour une société qui n’a qu’un seul modèle à son catalogue.
Lors de la présentation des résultats trimestriels d’Apple, Steve Jobs avait fait part d’une statistique encore plus troublante : en matière de chiffre d'affaires, Apple est devenu le troisième plus gros vendeur de mobiles (lire : 2008 : Les ventes d'Apple à la loupe).
Le succès est donc au rendez-vous pour l’iPhone 3G. En France, par exemple, Orange en a vendu 216 000 au troisième trimestre. Avec l’ancien modèle, l’opérateur de téléphonie mobile avait eu toutes les peines du monde à dépasser le cap des 150 000 unités. Même dans les pays où la partie s’annonçait plus difficile, comme au Japon, il semble, aux dernières nouvelles, que le succès soit également au rendez-vous. C’est du moins ce qu’ont affirmé les dirigeants de SoftBank, l’opérateur responsable de commercialiser l’iPhone au Japon, et qui vient d’ailleurs de présenter un tuner TV pour le terminal d’Apple.
En l’espace d’à peine un an, la société californienne a réussi à mettre sur pied un business qui génère déjà plus de chiffres d’affaires que ses deux autres activités principales : le Mac et l’iPod. Une performance remarquable qui donne une idée du potentiel d’Apple à court et moyen terme, sachant que le plus grand bénéficiaire de l’iPhone, comme l’iPod en son temps, pourrait être le Mac.
Ventes effectuées par Apple entre juillet et septembre 2008
Sur le même sujet :
- Le déclin de l'iPod
- J. Sculley revient sur le succès de l'iPhone
L’un des objectifs avoués de Steve Jobs était d’écouler 10 millions d’appareils d’iPhone en 2008. C’est chose faite depuis quelques jours déjà. Le patron d’Apple avait également déclaré qu’il serait ravi si sa société parvenait à avoir une part de marché de 1 % sur le marché des téléphones portables. Là encore, la pomme est en avance sur sa feuille de route.
Au troisième trimestre, Cupertino disposait d’une part de marché de 2,2 %. Pour Kevin Burden de Strategy Analytics, Apple est désormais un acteur établi dans cette industrie et est solidement installé dans le top 10 des fabricants de téléphones portables. Une sacrée performance pour une société qui n’a qu’un seul modèle à son catalogue.
Lors de la présentation des résultats trimestriels d’Apple, Steve Jobs avait fait part d’une statistique encore plus troublante : en matière de chiffre d'affaires, Apple est devenu le troisième plus gros vendeur de mobiles (lire : 2008 : Les ventes d'Apple à la loupe).
Le succès est donc au rendez-vous pour l’iPhone 3G. En France, par exemple, Orange en a vendu 216 000 au troisième trimestre. Avec l’ancien modèle, l’opérateur de téléphonie mobile avait eu toutes les peines du monde à dépasser le cap des 150 000 unités. Même dans les pays où la partie s’annonçait plus difficile, comme au Japon, il semble, aux dernières nouvelles, que le succès soit également au rendez-vous. C’est du moins ce qu’ont affirmé les dirigeants de SoftBank, l’opérateur responsable de commercialiser l’iPhone au Japon, et qui vient d’ailleurs de présenter un tuner TV pour le terminal d’Apple.
En l’espace d’à peine un an, la société californienne a réussi à mettre sur pied un business qui génère déjà plus de chiffres d’affaires que ses deux autres activités principales : le Mac et l’iPod. Une performance remarquable qui donne une idée du potentiel d’Apple à court et moyen terme, sachant que le plus grand bénéficiaire de l’iPhone, comme l’iPod en son temps, pourrait être le Mac.
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