Cette semaine marque le début du retour au bureau pour les employés américains d'Apple. Deux ans après le début de la pandémie et après de multiples échéances toutes reportées les unes après les autres au fil de l'évolution de la crise sanitaire et de l'apparition du variant Omicron plus contagieux. Initialement, c'est au début de l'été 2021 que la situation était prévue pour se normaliser. Plus récemment, Apple s'était fixée un objectif pour février dernier.
Cette rentrée se fait d'abord sur un rythme progressif. Depuis hier, les salariés sont tenus de venir au moins un jour par semaine dans leurs locaux. Dans trois semaines ce sera deux jours puis, après le 23 mai, c'est la nouvelle organisation hybride proposée par Tim Cook en juin 2021 qui prévaudra. À savoir une présence obligatoire les lundis, mardis et jeudis — de manière à simplifier les réunions — et les deux jours restants en télétravail pour qui le souhaite (et en fonction des postes ou équipes).
Ce schéma mixte, inédit pour Apple, n'avait pas été du goût de tous les employés, ceux qui avaient trouvé un nouvel équilibre en télétravail. Ils jugeaient qu'Apple s'en était finalement bien tirée au vu des lancements de produits effectués et des résultats financiers records qui en ont découlé ces deux dernières années.
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