Mark Zuckerberg est aujourd'hui entendu par le Congrès américain dans le cadre du scandale Cambridge Analytica, qui a permis à cette société d'exploiter indûment les données de 87 millions d'utilisateurs de Facebook1. Le créateur et patron de Facebook a tenté d'expliquer le fonctionnement de son entreprise aux sénateurs américains.
On aura certainement l'occasion d'y revenir, mais Mark Zuckerberg a assuré que Facebook n'était pas un monopole ; que parfois, il arrive aux Européens de faire des choses bien (rapport au règlement général sur la protection des données, le fameux RGPD, derrière lequel Apple s'est d'ailleurs engagée) ; qu'il ne ferme pas la porte ni à une réglementation, ni à la possibilité d'une version payante de Facebook.
Image : Jim Watson pour AFP/Getty Images