Mark Papermaster doit temporairement stopper toute activité chez Apple. Ainsi en a décidé le juge qui préside le contentieux entre IBM et son ancien employé, désormais nouveau Senior Vice President of Devices Hardware Engineering d'Apple. Papermaster devait commencer à piloter les développements matériels de l'iPhone et des iPod.
Apple a pris acte de cette décision se disant "confiante que Papermaster finira par intégrer Apple une fois la poussière retombée." La bio de Papermaster qui était apparue sur la page des dirigeants de la Pomme en a été aussitôt retirée.
Le juge Karas a indiqué que Papermaster pourrait soumettre ses objections à cette décision d'ici mardi et qu'un nouveau rendez-vous était fixé pour le 18 novembre.
Mark Papermaster avait répondu aux accusations d'IBM en expliquant en quoi sa nouvelle position chez Apple ne violait pas une clause de non-concurrence de son ancien contrat (voir l'article Mark Papermaster se défend).
Son avocat a affirmé que l'application de cette clause, prévue pour éviter qu'il ne travaille pendant un an dans l'industrie de l'industrie électronique, serait incroyablement dommageable à sa carrière et qu'Apple se présentait comme une occasion unique dans son parcours professionnel. D'autre part, Papermaster ne pourrait pas revenir chez IBM au vu de leur contentieux.
IBM a contesté l'affirmation selon laquelle l'embauche de Papermaster ne présentait aucun risque de concurrence au vu des différences de produits et de marchés qu'ils abordent "Les produits électroniques, petits et grands, fonctionnement avec le même type d'intelligence, le microprocesseur. IBM ne peut survivre si le savoir-faire et les informations de personnes comme Mark Papermaster s'en vont chez un concurrent."
Papermaster qui a passé 26 ans chez IBM faisait partie des 300 plus hauts cadres de l'entreprise et avait ainsi accès à un large spectre d'informations confidentielles.
Un responsable d'Apple a indiqué que Papermaster avait été embauché moins pour son expertise technologique que pour ses talents de gestionnaire et de responsable.
Apple a pris acte de cette décision se disant "confiante que Papermaster finira par intégrer Apple une fois la poussière retombée." La bio de Papermaster qui était apparue sur la page des dirigeants de la Pomme en a été aussitôt retirée.
Le juge Karas a indiqué que Papermaster pourrait soumettre ses objections à cette décision d'ici mardi et qu'un nouveau rendez-vous était fixé pour le 18 novembre.
Mark Papermaster avait répondu aux accusations d'IBM en expliquant en quoi sa nouvelle position chez Apple ne violait pas une clause de non-concurrence de son ancien contrat (voir l'article Mark Papermaster se défend).
Son avocat a affirmé que l'application de cette clause, prévue pour éviter qu'il ne travaille pendant un an dans l'industrie de l'industrie électronique, serait incroyablement dommageable à sa carrière et qu'Apple se présentait comme une occasion unique dans son parcours professionnel. D'autre part, Papermaster ne pourrait pas revenir chez IBM au vu de leur contentieux.
IBM a contesté l'affirmation selon laquelle l'embauche de Papermaster ne présentait aucun risque de concurrence au vu des différences de produits et de marchés qu'ils abordent "Les produits électroniques, petits et grands, fonctionnement avec le même type d'intelligence, le microprocesseur. IBM ne peut survivre si le savoir-faire et les informations de personnes comme Mark Papermaster s'en vont chez un concurrent."
Papermaster qui a passé 26 ans chez IBM faisait partie des 300 plus hauts cadres de l'entreprise et avait ainsi accès à un large spectre d'informations confidentielles.
Un responsable d'Apple a indiqué que Papermaster avait été embauché moins pour son expertise technologique que pour ses talents de gestionnaire et de responsable.