CNET se fait l'écho du rapport d'un analyste qui met en lumière un problème de solidité apparu sur les portables dits "ultra-fins", actuellement en phase de pré-production. Ces machines, dont le principe est promu par Intel depuis le printemps dernier, visent à se glisser entre les netbook économiques et des ultra-portables nettement plus onéreux que sont les MacBook Air ou le Dell Adamo.
Ils doivent concilier un confort d'utilisation avec des écrans allant de 12 à 14 pouces, une légèreté affirmée et des performantes et autonomie de bonnes tenues, le tout à un prix plutôt grand public.
Problème, explique Doug Freedman du cabinet Broadpoint AmTech, des échos provenant des sous-traitants et fabricants de ces portables font état de problèmes de solidité de leurs châssis. Pour des raisons évidentes de coûts, le plastique a été préféré au métal comme en trouve sur sur l'Air et l'Adamo.
Et le plastique, utilisé sur ces châssis, à la fois fins et relativement grands, finit par craquer rapidement. La solution serait par exemple de préférer l'aluminium au plastique, mais dans ce cas, c'est le coût de fabrication de ces portables qui risque d'en souffrir, avec une incidence sur son prix de vente.
Intel, pour sa part, s'est prestement démarqué de ces remontées, expliquant dans une déclaration que ces soucis rencontrés sur des modèles de pré-production n'étaient en rien liés à ses processeurs ni à leur conception.
Freedman conclut en signalant des constructeurs comme Lenovo et Samsung qui plutôt que d'essayer de répondre aux aspirations d'Intel en fabriquant des portables ultra-fins à 13 ou 14 pouces, préparent plutôt des machines plus classiques à écrans 11 et 12 pouces.
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Problème, explique Doug Freedman du cabinet Broadpoint AmTech, des échos provenant des sous-traitants et fabricants de ces portables font état de problèmes de solidité de leurs châssis. Pour des raisons évidentes de coûts, le plastique a été préféré au métal comme en trouve sur sur l'Air et l'Adamo.
Et le plastique, utilisé sur ces châssis, à la fois fins et relativement grands, finit par craquer rapidement. La solution serait par exemple de préférer l'aluminium au plastique, mais dans ce cas, c'est le coût de fabrication de ces portables qui risque d'en souffrir, avec une incidence sur son prix de vente.
Intel, pour sa part, s'est prestement démarqué de ces remontées, expliquant dans une déclaration que ces soucis rencontrés sur des modèles de pré-production n'étaient en rien liés à ses processeurs ni à leur conception.
Freedman conclut en signalant des constructeurs comme Lenovo et Samsung qui plutôt que d'essayer de répondre aux aspirations d'Intel en fabriquant des portables ultra-fins à 13 ou 14 pouces, préparent plutôt des machines plus classiques à écrans 11 et 12 pouces.
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