Dans le marché de la téléphonie mobile, Apple est l'un des rares acteurs à ne pas connaître la crise. La semaine prochaine, la société californienne devrait annoncer des ventes d'iPhone en nette progression lors du second trimestre.
Deux ans après la sortie de l'iPhone, Nokia n'est toujours pas parvenu à lui sortir un rival digne de ce nom. Résultat, sur le marché des smartphones, le géant finlandais a perdu beaucoup de terrain. Au second trimestre, sa part de marché avoisinait les 41 %, soit 21 points de moins qu'en 2005.
Entre avril et juin, Nokia a vu ses ventes de téléphone reculer de 12 % par rapport à l'année dernière à la même époque, une baisse supérieure à la moyenne du secteur. Toutefois, Nokia reste le leader incontesté de ce secteur avec une part de marché de 38 %.
Davantage positionné sur le haut de gamme, Sony Ericsson subit la crise de manière encore plus violente. Les ventes du tandem nippo-suédois ont chuté de 43 % au deuxième trimestre (13,8 millions de mobiles vendus). Selon Carolina Milanesi, du cabinet Gartner, l'offre de Sony Ericsson n'est pas adaptée à la demande du grand public qui souhaite des appareils à écran tactile pour surfer sur Internet, échanger des e-mails…
Sony Ericsson qui en est à son quatrième trimestre d'affilé de pertes, compte sur la sortie de ses premiers terminaux sous Android pour se relancer. Ces derniers sortiront juste à temps pour les fêtes de fin d'année (lire : De nouveaux détails sur le Sony Ericsson Android).
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