Un lecteur de MacStories a contacté Steve Jobs au sujet de l'affaire des suicides chez Foxconn, un des fournisseurs d'Apple, lui transférant le communiqué d'un collectif de syndicalistes, LabourStart.
Le patron d'Apple lui aurait répondu « Si tous les suicides sont tragiques, le taux de suicides chez Foxconn est en-dessous de la moyenne chinoise ». « [Ce problème] a toute notre attention », a-t-il ajouté, utilisant une expression typiquement américaine, « we are all over this », que le lecteur n'a pas compris.
S'en est suivi une discussion où Jobs a insisté sur le fait qu'Apple prend le problème à cœur : « nous faisons plus que toute autre compagnie dans le monde », explique-t-il, pointant vers le rapport annuel d'Apple sur la responsabilité sociale de ses fournisseurs (lire : Apple publie son rapport annuel sur ses fournisseurs). Le patron d'Apple a fini par expliquer cette fameuse expression, réitérant que le problème Foxconn « avait toute son attention ».
Dans un tout autre domaine, Steve Jobs a répondu à un courriel d'un développeur de Groundhog Software, dont l'application My Frame va être retirée de l'App Store, alors qu'elle avait été validée lors de sa première soumission, et encore à chaque mise à jour.
Le problème vient du fait que l'application est un environnement en elle-même, affichant des informations (météo, heure, contrôles musicaux, etc.) sous la forme de widgets par-dessus des images. Le genre de choses qu'Apple n'aime pas vraiment, elle qui a déjà refusé des applications imitant Dashboard. Le développeur s'en est ému auprès de Steve Jobs, expliquant qu'Apple a « franchi une ligne invisible ». Son application ne ferait rien d'autre que « d'afficher des choses utiles autour de photos », le membre de l'équipe de validation App Store qui a appelé pour prévenir de la décision n'ayant même pas été capable de préciser les choses qui pouvaient être modifiées pour éviter la suppression de l'application.
Le patron d'Apple s'est contenté d'un simple : « nous n'autorisons pas les applications qui créent leur propre environnement de bureau », envoyé depuis son iPad. L'application est pour le moment encore sur l'App Store.
Suicides chez Foxconn, validation App Store, réponse aux courriels de la communauté Apple, voilà des questions auxquelles Steve Jobs aura certainement à répondre lors de son interview lors de la 8e édition de la D:All things digital, qui commence aujourd'hui (lire : Steve Jobs ouvrira la conférence D8).
Le patron d'Apple lui aurait répondu « Si tous les suicides sont tragiques, le taux de suicides chez Foxconn est en-dessous de la moyenne chinoise ». « [Ce problème] a toute notre attention », a-t-il ajouté, utilisant une expression typiquement américaine, « we are all over this », que le lecteur n'a pas compris.
S'en est suivi une discussion où Jobs a insisté sur le fait qu'Apple prend le problème à cœur : « nous faisons plus que toute autre compagnie dans le monde », explique-t-il, pointant vers le rapport annuel d'Apple sur la responsabilité sociale de ses fournisseurs (lire : Apple publie son rapport annuel sur ses fournisseurs). Le patron d'Apple a fini par expliquer cette fameuse expression, réitérant que le problème Foxconn « avait toute son attention ».
Dans un tout autre domaine, Steve Jobs a répondu à un courriel d'un développeur de Groundhog Software, dont l'application My Frame va être retirée de l'App Store, alors qu'elle avait été validée lors de sa première soumission, et encore à chaque mise à jour.
Le problème vient du fait que l'application est un environnement en elle-même, affichant des informations (météo, heure, contrôles musicaux, etc.) sous la forme de widgets par-dessus des images. Le genre de choses qu'Apple n'aime pas vraiment, elle qui a déjà refusé des applications imitant Dashboard. Le développeur s'en est ému auprès de Steve Jobs, expliquant qu'Apple a « franchi une ligne invisible ». Son application ne ferait rien d'autre que « d'afficher des choses utiles autour de photos », le membre de l'équipe de validation App Store qui a appelé pour prévenir de la décision n'ayant même pas été capable de préciser les choses qui pouvaient être modifiées pour éviter la suppression de l'application.
Le patron d'Apple s'est contenté d'un simple : « nous n'autorisons pas les applications qui créent leur propre environnement de bureau », envoyé depuis son iPad. L'application est pour le moment encore sur l'App Store.
Suicides chez Foxconn, validation App Store, réponse aux courriels de la communauté Apple, voilà des questions auxquelles Steve Jobs aura certainement à répondre lors de son interview lors de la 8e édition de la D:All things digital, qui commence aujourd'hui (lire : Steve Jobs ouvrira la conférence D8).