En Europe, en l'espace d'un an, Internet Explorer a vu sa part d'utilisation passer de 58 % à 49,1 %. Dans le même temps, Firefox a stagné à 29,5 % alors que Safari et Chrome ont enregistré des gains significatifs. Le premier passant de 5,1 % à 7,4 % et le second de 4,5 % à 10,9 %.
Pour le navigateur de Microsoft, ce début d'année est cependant porteur d'espoir. Pour la première fois depuis bien longtemps, il n'a perdu que 0,1 point d'un mois sur l'autre. Il est à noter qu'IE est le seul butineur du marché à avoir une part de visite plus élevée pendant la semaine que durant le week-end. Le navigateur de Redmond bénéficie du fait que les entreprises sont moins enclines à changer que le grand public.
Enfin, il est intéressant de noter que si la progression de Chrome est assez homogène en Europe, elle l'est beaucoup moins pour Safari qui affiche une part de visite de 3,2 % en Grèce, de 6 % en Espagne, de 6,6 % en Italie et de 12,7 % en Espagne. La progression de Safari pour sa part est proportionnelle aux succès commerciaux des produits Apple dans les pays mentionnés.
L'ensemble de ce ses statistiques ont été compilées par AT Internet qui analyse le trafic de plus de 15 000 sites web.
Pour le navigateur de Microsoft, ce début d'année est cependant porteur d'espoir. Pour la première fois depuis bien longtemps, il n'a perdu que 0,1 point d'un mois sur l'autre. Il est à noter qu'IE est le seul butineur du marché à avoir une part de visite plus élevée pendant la semaine que durant le week-end. Le navigateur de Redmond bénéficie du fait que les entreprises sont moins enclines à changer que le grand public.
Enfin, il est intéressant de noter que si la progression de Chrome est assez homogène en Europe, elle l'est beaucoup moins pour Safari qui affiche une part de visite de 3,2 % en Grèce, de 6 % en Espagne, de 6,6 % en Italie et de 12,7 % en Espagne. La progression de Safari pour sa part est proportionnelle aux succès commerciaux des produits Apple dans les pays mentionnés.
L'ensemble de ce ses statistiques ont été compilées par AT Internet qui analyse le trafic de plus de 15 000 sites web.