John Sculley se fait l'avocat d'un repositionnement de la gamme iPhone, le rendant accessible aussi à des portefeuilles moins épais.
L'ancien patron d'Apple (1983 à 1993) considère que la société doit « s'adapter à un monde très différent » où le prix, dans certains pays a une valeur cardinale « Alors que l'on s'oriente vers des smartphones qui passent de 500$ à 100$ chez certaines marques, vous devez repenser en profondeur votre chaîne de production et voir comment fabriquer de tels produits en restant rentable ».
Un discours qui s'inscrit à nouveau dans ce débat, alimenté par des rumeurs, autour d'un iPhone décliné en une version nettement plus abordable (lire aussi 2013 : l'année de l'iPhone pour tous).
Pour Sculley, face à la saturation de marchés comme les États-Unis et l'Europe, la croissance d'Apple va de plus en plus dépendre de marchés émergents comme la Chine ou l'Inde.
Une Chine dont Tim Cook, alors en pleine visite la semaine dernière, disait précisément qu'elle deviendrait le premier marché d'Apple à court terme.
Sculley presse d'autant plus son ancienne société de réagir qu'il juge la concurrence d'un haut niveau « Samsung est un concurrent très compétent. La différence entre un Galaxy et un iPhone 5 n'est plus aussi forte que ce que l'on a pu voir par le passé ».
John Sculley, qui n'a jamais caché son admiration pour les exploits accomplis par Steve Jobs dans le redressement d'Apple ne jette pas la pierre à Tim Cook. Au contraire, il le considère comme « l'homme de la situation » au vu de son expertise dans les arcanes des relations avec les fournisseurs et les sous-traitants.
Sur le même sujet :
- John Sculley, l'eau sucrée et Apple
L'ancien patron d'Apple (1983 à 1993) considère que la société doit « s'adapter à un monde très différent » où le prix, dans certains pays a une valeur cardinale « Alors que l'on s'oriente vers des smartphones qui passent de 500$ à 100$ chez certaines marques, vous devez repenser en profondeur votre chaîne de production et voir comment fabriquer de tels produits en restant rentable ».
Un discours qui s'inscrit à nouveau dans ce débat, alimenté par des rumeurs, autour d'un iPhone décliné en une version nettement plus abordable (lire aussi 2013 : l'année de l'iPhone pour tous).
Pour Sculley, face à la saturation de marchés comme les États-Unis et l'Europe, la croissance d'Apple va de plus en plus dépendre de marchés émergents comme la Chine ou l'Inde.
Une Chine dont Tim Cook, alors en pleine visite la semaine dernière, disait précisément qu'elle deviendrait le premier marché d'Apple à court terme.
Sculley presse d'autant plus son ancienne société de réagir qu'il juge la concurrence d'un haut niveau « Samsung est un concurrent très compétent. La différence entre un Galaxy et un iPhone 5 n'est plus aussi forte que ce que l'on a pu voir par le passé ».
John Sculley, qui n'a jamais caché son admiration pour les exploits accomplis par Steve Jobs dans le redressement d'Apple ne jette pas la pierre à Tim Cook. Au contraire, il le considère comme « l'homme de la situation » au vu de son expertise dans les arcanes des relations avec les fournisseurs et les sous-traitants.
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