Scapple [1.0.0 – Démo – US – Mac OS X 10.6 – 12,63 €] est le nom d’un nouvel éditeur de cartes heuristiques, ces représentations qui permettent d’organiser ses idées en les liant librement par des connecteurs logiques. Ce nouveau venu est l’œuvre de Litterature and Latte, l’éditeur du célèbre outil de rédaction Scrivener. En bêta depuis l’automne, le logiciel est désormais disponible dans sa première version finale et payante.
Un peu comme Scrivener, cet éditeur de cartes mentales fait le pari de la souplesse. Dans Scapple, vous vous trouvez face à une page de papier virtuelle et vous pouvez double-cliquer n’importe où pour créer un élément. Vous pouvez relier cet élément à d’autres idées déjà présentes, mais ce n’est pas une obligation. Le logiciel ne tient pas compte des limites traditionnelles du papier toutefois : on peut glisser des images dans son document et on n’est jamais limité en taille, la zone de travail s’agrandit au fur et à mesure des ajouts.
Scapple ne brille pas par son interface moderne, mais ce n’est pas le propos. Le logiciel est conçu pour offrir une interface fonctionnelle avant tout et on peut dire que c’est réussi. Même si on est un peu perdu dans un premier temps dans les nombreuses options, on trouve vite ses marques et l’inspecteur flottant permet de rapidement arriver à ce que l’on souhaite. Le logiciel n’est traduit qu’en anglais, un frein potentiel pour ceux qui ont du mal avec cette langue.
Ce logiciel est intégré à Scrivener, mais de façon très minimale malheureusement. On aurait aimé indexer un document Scapple dans l’outil de rédaction et afficher au moins un aperçu de la carte mentale que l’on y a dessinée, mais ce n’est pas possible. On peut ajouter le document à un projet, comme n’importe quel document, et on aura alors simplement une icône standard. La seule possibilité en fait consiste à glisser une idée ou un bloc de texte depuis Scapple vers Scrivener… c’est un peu trop léger.
L’éditeur reste toutefois toujours aussi généreux avec sa version de démonstration qui permet d’utiliser son logiciel pendant 30 jours. Il ne s’agit pas d’un essai d’un mois, mais de 30 jours d’utilisation concrète : si vous n’avez qu’un besoin limité de Scapple, vous pourrez l’utiliser pendant plusieurs semaines sans payer. Après cela, il faudra compter environ 12,6 € pour une licence, sauf si vous êtes dans le monde de l’éducation (comptez alors une dizaine d’euros).
Scapple a été envoyé à Apple et il devrait se retrouver à terme sur le Mac App Store. Cette version bénéficiera d’une synchronisation iCloud et l’éditeur remet en place son astucieux système pour ne pas attendre la validation d’Apple : à chaque mise à jour, les clients de la boutique Apple pourront utiliser gratuitement et sans limite la version de démonstration.
Un peu comme Scrivener, cet éditeur de cartes mentales fait le pari de la souplesse. Dans Scapple, vous vous trouvez face à une page de papier virtuelle et vous pouvez double-cliquer n’importe où pour créer un élément. Vous pouvez relier cet élément à d’autres idées déjà présentes, mais ce n’est pas une obligation. Le logiciel ne tient pas compte des limites traditionnelles du papier toutefois : on peut glisser des images dans son document et on n’est jamais limité en taille, la zone de travail s’agrandit au fur et à mesure des ajouts.
Scapple ne brille pas par son interface moderne, mais ce n’est pas le propos. Le logiciel est conçu pour offrir une interface fonctionnelle avant tout et on peut dire que c’est réussi. Même si on est un peu perdu dans un premier temps dans les nombreuses options, on trouve vite ses marques et l’inspecteur flottant permet de rapidement arriver à ce que l’on souhaite. Le logiciel n’est traduit qu’en anglais, un frein potentiel pour ceux qui ont du mal avec cette langue.
Ce logiciel est intégré à Scrivener, mais de façon très minimale malheureusement. On aurait aimé indexer un document Scapple dans l’outil de rédaction et afficher au moins un aperçu de la carte mentale que l’on y a dessinée, mais ce n’est pas possible. On peut ajouter le document à un projet, comme n’importe quel document, et on aura alors simplement une icône standard. La seule possibilité en fait consiste à glisser une idée ou un bloc de texte depuis Scapple vers Scrivener… c’est un peu trop léger.
L’éditeur reste toutefois toujours aussi généreux avec sa version de démonstration qui permet d’utiliser son logiciel pendant 30 jours. Il ne s’agit pas d’un essai d’un mois, mais de 30 jours d’utilisation concrète : si vous n’avez qu’un besoin limité de Scapple, vous pourrez l’utiliser pendant plusieurs semaines sans payer. Après cela, il faudra compter environ 12,6 € pour une licence, sauf si vous êtes dans le monde de l’éducation (comptez alors une dizaine d’euros).
Scapple a été envoyé à Apple et il devrait se retrouver à terme sur le Mac App Store. Cette version bénéficiera d’une synchronisation iCloud et l’éditeur remet en place son astucieux système pour ne pas attendre la validation d’Apple : à chaque mise à jour, les clients de la boutique Apple pourront utiliser gratuitement et sans limite la version de démonstration.