Déjà, dehors, les bruits se font moins forts. Déjà, dehors, la vie se ralentit. Déjà, dehors, la lumière du jour baisse et celles des hommes, multicolores, habillent la ville de couleurs heureuses.
Et ce n’est pas un mal. Ces derniers mois auront été éprouvants : crise financière, crise économique, crise politique, crise morale. L’atmosphère n’est a priori pas à la fête. Pourtant, pour quelques heures, tâchons d’être heureux. Autant que possible. Et, pour nombre d’entre nous, il doit y avoir moyen d’y parvenir : une table mieux décorée que souvent, une vaisselle un peu particulière, un éclairage moins brutal, une musique pas trop triste, un sapin, il peut pencher, ce n’est pas grave, et le tour est — presque — joué. Il faut encore, c’est mieux, des proches : des amis, des familiers. il faut encore, c’est essentiel, un cœur un peu léger, une envie d’être bien. Chassons ce pli du front, ce soir, nous allons regarder moins dehors. Ce soir, nous allons regarder ceux qui nous entourent, nous allons dîner avec eux, nous allons trinquer à leur bonne santé (ils trinqueront à la nôtre), nous allons rire avec eux. Nous allons aimer être avec eux ; ils aimeront être avec nous.
Viendra alors le moment de l'échange des présents. Ce soir, demain matin. Peu importe d'ailleurs ce que nous offrirons, peu importe d'ailleurs ce qu'on nous offrira. Ce qui compte, alors plus encore que jamais, c'est la présence de ceux qui nous sont chers. Ce qui compte, c'est de ressentir ce petit, fragile, fugace peut-être, sentiment de bien-être, de bonheur même.
Toute l'équipe de MacGeneration / iGeneration vous souhaite à toutes et à tous un joli, un heureux Noël. Et vive le vent, vive le vent d'hiver…
Et ce n’est pas un mal. Ces derniers mois auront été éprouvants : crise financière, crise économique, crise politique, crise morale. L’atmosphère n’est a priori pas à la fête. Pourtant, pour quelques heures, tâchons d’être heureux. Autant que possible. Et, pour nombre d’entre nous, il doit y avoir moyen d’y parvenir : une table mieux décorée que souvent, une vaisselle un peu particulière, un éclairage moins brutal, une musique pas trop triste, un sapin, il peut pencher, ce n’est pas grave, et le tour est — presque — joué. Il faut encore, c’est mieux, des proches : des amis, des familiers. il faut encore, c’est essentiel, un cœur un peu léger, une envie d’être bien. Chassons ce pli du front, ce soir, nous allons regarder moins dehors. Ce soir, nous allons regarder ceux qui nous entourent, nous allons dîner avec eux, nous allons trinquer à leur bonne santé (ils trinqueront à la nôtre), nous allons rire avec eux. Nous allons aimer être avec eux ; ils aimeront être avec nous.
Viendra alors le moment de l'échange des présents. Ce soir, demain matin. Peu importe d'ailleurs ce que nous offrirons, peu importe d'ailleurs ce qu'on nous offrira. Ce qui compte, alors plus encore que jamais, c'est la présence de ceux qui nous sont chers. Ce qui compte, c'est de ressentir ce petit, fragile, fugace peut-être, sentiment de bien-être, de bonheur même.
Toute l'équipe de MacGeneration / iGeneration vous souhaite à toutes et à tous un joli, un heureux Noël. Et vive le vent, vive le vent d'hiver…